Ma note : 4,5/5
Fiche technique et résumé de l’éditeur
Titre : Ne les crois pas
Auteur : Sebastian Fitzek
Éditeur grand format : L’Archipel
Date de sortie grand format : 2010
Éditeur poche : Le Livre de Poche
Date de sortie poche : 2011
Nombre de pages : 416 pages
Résumé : Yann May, un célèbre psychologue berlinois, est au téléphone avec Leoni, sa fiancée. La liaison est mauvaise. Pourtant il l’entend dire : « Ne les crois pas. Quoi qu’ils te disent… ne les crois pas… » Alors qu’il est encore en ligne, un policier sonne et lui annonce la mort accidentelle de Leoni, une heure plus tôt… Huit mois ont passé. Ira Samin, une psychologue de la police, a décidé d’en finir. Mais, alors qu’elle s’apprête à passer à l’acte, un de ses collègues vient la chercher pour l’emmener dans une station de radio. Un forcené s’est retranché dans un studio et menace d’abattre ses otages. Ira est chargée de conduire les négociations. Bien vite, elle comprend que Yann a tenté ce coup de poker pour retrouver Leoni, qu’il se refuse à croire morte. Et certains de ses arguments sont troublants… Après Thérapie, le nouveau thriller de Sebastian Fitzek, la révéla tion du polar allemand.
Ce que j’en ai pensé
Pour cette dernière lecture d’août, j’ai fait une ultime LC de l’été avec Lucie et on continue notre découverte de la bibliographie du « maître du suspense allemand » Sebastian Fitzek avec son second roman paru. Et c’est encore un succès unanime !
Yann May, psychologue, est au téléphone avec Leoni sa fiancée. La ligne est instable mais il comprend quelques bribes. « Ne les crois pas » dit-elle. Alors qu’il est encore en ligne, il reçoit deux visiteurs qui viennent lui annoncer que Leoni est morte dans un accident de voiture une heure plus tôt. Huit mois plus tard, Yann prend les choses en main et fait une prise d’otages dans une station de radio. Son mobile : que la police retrouve Leoni car il le sait, elle est forcément vivante. Ira Samin, qui était sur le point de mettre fin à ses jours, est appelée en renfort. Elle sera la négociatrice.
Rien qu’avec ce démarrage, je savais qu’on allait vers un roman fou dingue ! Les rebondissements sont différents de ceux du Thérapie mais tout aussi moteur pour dévorer les pages. Les révélations sont données au compte goutte, pile au bon moment pour éviter que le rythme soutenu ne s’essouffle. Pas une minute de répit pendant cette prise d’otages ! Le scénario est peaufiné et bien plus complexe qu’il n’y paraît de prime abord !
Les histoires personnelles et relations des personnages viennent pimenter l’action déjà trépidante et ajouter une bonne dose de suspense et indices.
Bref, je reste fan de Sebastian Fitzek !
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