La belle-mère de Sally Hepworth

Ma note : 4/5

Fiche technique et résumé de l’éditeur

Titre : La belle-mère
Auteur : Sally Hepworth
Éditeur grand format : L’Archipel
Date de sortie grand format : 2020
Éditeur poche : Archipoche
Date de sortie poche : 2021
Nombre de pages : 408 pages

Résumé : Dès le début de sa relation avec Ollie, Lucy a tout fait pour s’attirer les bonnes grâces de sa belle-mère. Mais, autant Diana sait se montrer altruiste envers les réfugiés, autant elle est intraitable avec ses propres enfants et leurs conjoints.

C’était il y a dix ans. Aujourd’hui, Diana vient de mourir. La note trouvée près de son corps indique qu’un cancer la rongeait et qu’elle n’avait plus le courage de se battre.Mais, à l’autopsie, nulle trace de cancer. Et tout laisse penser qu’on l’a assassinée.

Qui voulait la mort de Diana ? Pourquoi son testament a-t-il été modifié récemment et ses deux enfants déshérités ?

Un suspense qui nous entraîne au coeur d’une famille modèle. En apparence…

Ce que j’en ai pensé

« Tout le monde a eu envie de frapper sa belle-mère un jour où l’autre. » Sally Hepworth joue habillement sur la relation belle-fille/belle-mère tant redoutée.

D’entrée de jeu, on apprend le décès de Diana par le biais du couple Ollie (le fils) et Lucy (la belle-fille). Et d’emblée on sent bien qu’il y avait des tensions dans la famille/belle famille ! Très vite on fait aussi la connaissance des autres personnages clés de ce roman : Nettie (la fille, sœur d’Ollie), son mari Patrick et Tom, le mari de Diana, père des deux enfants. L’arbre généalogique, s’il n’est pas nécessairement limpide ici, le sera dans le récit.

Comme tout bon thriller psychologique domestique qui se respecte, ce sont les liens familiaux, les magouilles, secrets et trahisons qui font tout ! Les tensions entre Lucy et Diana sont évidentes et limite innées ! Bien évidemment, même si le décès de Diana semble être un suicide de prime abord, il y a des éléments louches et très rapidement tous les protagonistes vont avoir un mobile pour le meurtre de la froide et intransigeante Diana !

Qui donc est coupable ? C’est bien toute la question et l’autrice nous balade pour la réponse ! J’ai soupçonné quasiment tout le monde ! J’ai étrangement ressenti une certaine lenteur pendant ma lecture, comme s’il ne se passait pas grand chose, tout en étant captivée par le possible dénouement. Les rebondissements ne sont pas dingues mais jetai attachée aux personnages et c’était souvent l’essentiel !

Bref, un bon thriller psychologique à lire quelles que soient les relations avec votre belle-mère !


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Commentaires

4 réponses à “La belle-mère de Sally Hepworth”

  1. Avatar de laplumedelulu
    laplumedelulu

    Ça sent bien le sac de nœud tout ça. Merci à toi pour la chronique.

    1. Avatar de Luciole

      Plus bien ficelé oui !

      1. Avatar de laplumedelulu
        laplumedelulu

        Ça sent le fumage de neurone.

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