Ma note : 5/5
Fiche technique et résumé de l’éditeur
Titre : Blackwater, tome 1 : La Crue
Auteur : Michael McDowell
Éditeur poche : Monsieur Toussaint Louverture
Date de sortie poche : avril 2022
Nombre de pages : 260 pages
Résumé : Pâques 1919, alors que les flots menaçant Perdido submergent cette petite ville du nord de l’Alabama, un clan de riches propriétaires terriens, les Caskey, doivent faire face aux avaries de leurs scieries, à la perte de leur bois et aux incalculables dégâts provoqués par l’implacable crue de la rivière Blackwater.
Menés par Mary-Love, la puissante matriarche aux mille tours, et par Oscar, son fils dévoué, les Caskey s’apprêtent à se relever… mais c’est sans compter l’arrivée, aussi soudaine que mystérieuse, d’une séduisante étrangère, Elinor Dammert, jeune femme au passé trouble, dont le seul dessein semble être de vouloir conquérir sa place parmi les Caskey.
Ce que j’en ai pensé
Au départ, je ne voulais pas lire ce bouquin qu’on voit partout. La couverture (magnifique) m’attirait autant qu’elle me repoussait : le contenu est sûrement fantastique et probablement jeunesse. Next ! Cette vague ne m’aura pas ! Attendez. On me dit dans l’oreillette « saga familiale » et « horreur ». Ok pour l’horreur. Creusons ! J’apprends ensuite que cette saga a été écrite en 1982, en six parutions, qu’elle a inspiré Stephen King à sortir La ligne verte de la même manière et que les deux auteurs sont potes ! Ça, ça me plaît ! J’ai acheté ce premier tome juste avant de savoir que Micheal McDowell est le scénariste de Beetlejuice (de Burton) et qu’il a bossé sur L’étrange Noël de Monsieur Jack. Banco ! Je sais que les six vont atterir chez moi !Revenons à ce premier tome.
Il s’agit bien d’une saga familiale avec une pointe de surnaturel et une touche d’horreur. La famille est flippante en elle-même et l’auteur aime ce thème où il trouve une grande source d’inspiration. Les Caskey collectionnent plein de failles familiales et on n’a pas tout vu je pense ! Mary-Love, la mère qui veut tout contrôler, surtout son fils Oscar et sa fille Sister, déteste d’emblée Elinor, la nouvelle arrivée en ville. Celle-ci s’entiche d’Oscar, vit chez James le beau-frère et réveille les foudres manipulatrice de Mary-Love. Mais Elinor est aussi une créature bien étrange !
Côté surnaturel, c’est à la fois improbable et plausible et là, respect ! Elianor n’a pas l’air totalement humaine mais ça passe crème ! Comme tout le reste du récit, très cinématographique ! Maintenant que j’ai mis un pied dans la saga Blackwater, il va falloir que je fonce en librairie pour me procurer ceux déjà sortis !
Bref, c’est moche pour la PAL mais un bon kiff de lectrice !
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