Rêver de Franck Thilliez

Ma note : 4,5/5

Fiche technique et résumé de l’éditeur

Titre : Rêver
Auteur : Franck Thillier
Éditeur grand format : Fleuve Noir
Date de sortie grand format : 26 mai 2016
Éditeur poche : Pocket
Date de sortie poche : 11 mai 2017
Nombre de pages : 656 pages

Résumé : Psychologue réputée pour son expertise dans les affaires criminelles, Abigaël souffre d’une narcolepsie sévère qui lui fait confondre le rêve avec la réalité. De nombreux mystères planent autour de la jeune femme, notamment concernant l’accident qui a coûté la vie à son père et à sa fille, et dont elle est miraculeusement sortie indemne.
L’affaire de disparition d’enfants sur laquelle elle travaille brouille ses derniers repères et fait bientôt basculer sa vie dans un cauchemar éveillé… Dans cette enquête, il y a une proie et un prédateur : elle-même.

Ce que j’en ai pensé

Avant toute chose, ce roman est un one shot et ne fait pas partie de la série avec Sharko et Hennebelle. On peut donc le lire sans lien avec un autre roman. C’était mon avant-dernier one shot de l’auteur à lire ! Et encore une réussite ! Je n’ai jamais été déçue par un roman de Franck Thilliez même si j’en préfère certains à d’autres.

Rêver est un mélange d’Inception et de voyage temporel mais sans rien de fantastique. Tout est dans la construction de l’histoire. Le récit ne se lit pas dans l’ordre chonologique des événements et des dates mais dans un désordre heureusement bien ordonné. Chaque partie commence par une frise avec un événement initial et un événement final. Un curseur se déplace et date où on se trouve dans la chronologie. Contrairement à notre héroïne narcoleptique, il faut bien suivre sa lecure !

Léa est donc narcoleptique et sujette à la cataplexie. On apprend beaucoup sur ces deux maladies, parfois liées. Mon côté curieux et scientifique me fait aimer les romans de Franck Thillier pour ça !

Des enfants sont enlevés et Léa, psychologue, est associée à l’enquête. Dans le désordre des choses, les clefs se révèlent et la lumière se fait. Les indices sont donnés au compte-goutte par l’auteur et toujours au bon moment pour garder un suspense addictif. Même si j’ai compris un point important du récit, j’ai beaucoup apprécié ma lecture, qui m’a empêché de m’endormir le soir tellement je voulais avancer dans l’enquête !

Petit plus, un chapitre n’existe pas dans le roman. On passe du 56 au 58 et tout est expliqué à la fin. Votre assiduité lors de la lecture (ou Google) vous aidera à retrouver ce fameux chapitre pour le découvrir sur un site dédié à la fin de votre lecture (et pas avant sinon tout est gâché !)


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