Sauvage de Jane Harper

Ma note : 4/5

Fiche technique et résumé de l’éditeur

Titre : Sauvage
Auteur : Jane Harper
Éditeur grand format : Calmann-Lévy
Date de sortie grand format : 4 avril 2018
Nombre de pages : 432 pages

Résumé : De retour à Melbourne après un séjour éprouvant dans sa ville natale, l’agent fédéral Aaron Falk apprend la disparition d’Alice Russell. Cette dernière, qui n’est jamais revenue d’un challenge d’entreprise dans le bush, est son témoin clé dans une affaire de blanchiment d’argent à grande échelle.
Alors que son enquête plonge Falk au coeur d’une nature magnifique mais impitoyable, surtout en plein hiver, il découvre que tous les participants à ce challenge ont quelque chose à cacher. Et qu’Alice, femme cruelle et insensible, est loin d’être appréciée par ses collègues. Le compte à rebours pour retrouver Alice vivante est enclenché mais, si les langues se délient progressivement, tout le monde ne semble pas prêt à coopérer.
Un nouveau thriller aussi dépaysant qu’addictif qui confirme l’immense talent de Jane Harper pour des intrigues redoutables.

Ce que j’en ai pensé

Après Canicule dans le bush brûlant de l’été, Jane Harper revient avec Sauvage qui se déroule dans les montagnes australiennes en plein hiver. Un ressenti un peu moins puissant sur l’effet météo mais une angoisse bien présente !

Une grosse boîte décide de faire une activité pour rapprocher les salariés. Une sortie team-building sous forme de randonnée balisée dans la montagne et le bush hivernal. Les hommes et les femmes sont séparés en deux équipes et se retrouveront quatre jours plus tard au point d’arrivée. Mais avec une en moins ! En parallèle, on retrouve l’agent Aaron Falk, toujours dans la police financière et qui traque un gros blanchiment d’argent… de cette même société. Son indic dans la boîte est la femme qui disparaît lors de cette rando !

Le récit est scindé en deux parties qui s’alternent. Un passé / présent très rapproché avec l’histoire des randonneurs pendant leur périple dans la nature (et on s’y croit à fond) et en même temps l’enquête des équipes de recherche aidées d’Aaron Falk et de sa co-équipière. Les indices sont semés tel les petits cailloux du Petit Poucet. On est complètement perdu dans cette nature luxuriante et glacée. Les animosités entre les salariés/amies de la boîte se révèlent, les secrets sont dévoilés au grand jour. Comme pour le premier roman, le rythme des deux premiers tiers est plutôt lent, pour la mise en place de l’ambiance et la fin s’accélère, nous empêchant complètement de poser le roman avec la fin !


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