Blackwater, tome VI : Pluie de Michael McDowell

Ma note : 5/5

Fiche technique et résumé de l’éditeur

Titre : Blackwater, tome VI : Pluie
Auteur : Michael McDowell
Éditeur poche : Monsieur Toussaint Louverture
Date de sortie poche : 17 juin 2022
Nombre de pages : 256 pages

Résumé : Le poids des années pèse sur le cœur du clan ­Caskey. Pourtant, comme autrefois et comme un leitmotiv cruel, des machinations surgissent et des mots qu’on n’attendait plus sont enfin prononcés. Depuis les hauteurs, résonne le chant inexorable d’une menace dont on pressent les effets dévastateurs.

Au-delà des manipulations et des rebondissements, de l’amour et de la haine, Michael McDowell (1950-1999), ­co-créateur des mythiques Beetlejuice et L’Étrange Noël de Monsieur Jack, et auteur d’une trentaine de livres, réussit avec Blackwater à bâtir une saga en six romans aussi ­addictive qu’une série Netflix, baignée d’une atmosphère unique et fascinante digne de Stephen King.

Voici le sixième et dernier épisode de Blackwater, une saga matriarcale teintée de surnaturel avec un soupçon d’horreur.

Ce que j’en ai pensé

Quand toute la sphère littéraire s’est mise à parler de Blackwater, j’étais persuadée que ce n’était pas pour moi ! Une saga familiale, non merci. Mais j’ai cédé à l’influence après quelques avis lus ici et là et puis après m’être renseignée. Une saga écrite en 1983 par un ami de Stephen King et scénariste de Beetlejuice, je veux bien tester ! Depuis que j’ai refermé La Crue, le premier tome, je cherche ce qui m’a totalement happée dans cet ouvrage, et par la suite au fil des tomes et des pages. Parce que c’est à l’opposé des thrillers ou romans noirs que je lis et que j’ai adoré cette saga d’un peu plus de 1500 pages. Et attention à l’argumentaire hyper poussé que j’ai pour vous c’est : « c’est vachement bien ! Épicétou ! »

Ainsi s’achève cette épique saga familiale du clan Caskey, avec ce sixième tome nommé sobrement : Pluie. Je n’avais pas envie de les quitter, ne sachant pas bien comment les 50 années passées avec eux pouvaient bien se clôturer. Perdito, Alabama, de 1919 à 1970 où coulent la Perdito et la Blackwater. La fin ne pouvait être autre. Ce tome final conclut les mariages, décès, trahisons et secrets de cette famille ultra matriarcale, après des ultimes alliances et séparations ! Le surnaturel en filigrane prend un peu plus de poids et frôle l’horreur, toujours par pincée, soupçon.

Je ne comprends pas bien comment ce récit a pu ne jamais être édité avant cette année. Je remercie les éditions Monsieur Toussain Louverture de l’avoir fait, et si joliment en plus. Les livres sont des beaux objets à avoir dans sa bibliothèque !

Bref, j’ai kiffé épicétou !

Commentaires

3 réponses à “Blackwater, tome VI : Pluie de Michael McDowell”

  1. Avatar de laplumedelulu
    laplumedelulu

    Et moi je les cherche épicétout.
    C’est en rupture de stock. Et repart en réimpression.
    Merci à toi Lucile une fois de plus pour m’avoir donné envie de le lire

    1. Avatar de Luciole

      La saga est victime de son succès !

  2. Avatar de laplumedelulu
    laplumedelulu

    Apparemment oui. 🙂

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